A. Guterres, patron de l'ONU qui félicitait le regroupement des gangs en G9. Première fois que j'entends un officiel féliciter ouvertement des gangsters.
Nous, signataires de la présente, Socioprofessionnels-lles Progressistes Haïtiens-nes, avons pris connaissance avec stupéfaction, consternation et inquiétude, de la signature, entre le Bureau Intégré des Nations Unies (BINUH) et le Gouvernement haïtien actuel, d’un document de projet d’appui au « processus électoral en Haïti ».
En effet, d’après un communiqué datant du 27 janvier 2021, émanant du Centre de presse du Système des Nations-Unies, un appui (technique, opérationnel et logistique) mettant à contribution le BINUH et quatre agences des Nations-Unies (PNUD, l’UNOPS, l’ONU Femmes et l’UNESCO) et faisant suite à une demande du Gouvernement de la République d’Haïti, se réalisera sous le leadership du Conseil Electoral Provisoire (CEP). Nous avons particulièrement pris soin de relever, dans cette communication, qu’il est fait mention d’une évaluation qui aurait été effectuée par les Nations-Unies sur la situation actuelle du pays.
La présente note vise à:
1) Alerter l’opinion publique des pays dits amis d’Haïti, la société civile internationale – sur la politique que mènent les Nations Unies, depuis plus de dix ans en Haïti. La politique onusienne en Haïti est en train de conduire la population à la dislocation sociale et à la détresse morale et physique ;
2) Dénoncer le mépris caractérisé du BINUH envers les aspirations légitimes du peuple haïtien à la démocratie, à la justice, et au bien-être;
3) Inviter le BINUH à se ressaisir pour ne pas être complice d’une nouvelle catastrophe comme ce fut le cas avec l’introduction du choléra dans le pays en 2010.
Sauf à être dans une entreprise de démembrement préconçu, d’un déni cynique et systématique de la réalité, ou à être en déconnexion totale avec le quotidien de souffrances du peuple haïtien, les responsables du BINUH font semblant d’ignorer le climat de terreur que vivent les populations des quartiers populaires, la passivité ou la complicité des forces de l’ordre face à la montée de l’insécurité dans le pays.
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