... vous joindre à ceux qui kidnappent, volent, violent, tuent, massacrent,... "Aussi simple que ça. "(Courtoisie V. Numa) .
Tenez-vous bien.
Les "pauvres victimes de la société" qui kidnappent des pauvres sont également considérés comme des révolutionnaires.
Incroyable mais vrai.
Haïti invente une nouvelle définition du révolutionnaire : celui qui prend aux pauvres pour s'enrichir.
Quant à moi, je sais que les victimes des tèt kale, de leurs alliés du G9 , du secteur privé, des la CI/USA sont les jeunes d'Haïti.
Une jeunesse sommée de vivre dans la peur, empêchée de se déplacer librement, d'étudier de se distraire et dont l'avenir est totalement impacté par un environnement traumatisant.
Bien entendu, il n'existe pas de cellules de psychologues pour prendre en charge les enfants, comme ceux de cette école- qui ont pu assister au kidnapping de leur directeur.
Mais on vous l'a dit JOVENEL," l'homme banane" assassiné par ses potes, est une pauvre victime, comme les 400 Mawozo, BBQ, IZO, TILAPLI et autres qui n'hésitent pas, paraît-il à brûler des corps dans un four, sont de pauvres victimes d'une société qui les a forcé à devenir des criminels.
Le pauvre JOVENEL n'avait pas d'autre choix que de se faire financer par des Syro-Libanais, de leur devoir de l'argent, d'avoir des redevances envers eux, une pauvre victime du système lui aussi.
Les seules vraies victimes de ce pays sont les enfants, les femmes et les jeunes dont l'avenir est confisqué par une bande de salauds, psychopathes, sociaopathes, sadomasochistes.
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