... ait pu déclaré que durant son mandat, il n'y aurait pas de procès Petro-Caribe ?
A-Avait-il fait un deal avec ceux, ses copains du secteur privéqui ont financé sa campagne ?
B- La CI/USA lui avait ordonné de ne pas toucher à ce dossier ?
C-Les prédateurs l'avaient menacé de représailles ?
D- En tant que membre de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt Kale, un procès risquerait de dévoiler ses lies avec cette association (Kiko St Rémy, E. Daniel et bien entendu son gourou MARTELLY)
E-Son refus signifierait son empathie (pour les tèt grenn spoliés, sesembablees) et son désir de les protéger en leur offrant le " ti rest pou pèp la" ?
Ces interrogations parce que je vois venir une vaste offensive - via la sacralisation de JOVENEL déguisé en nouveau Dessalines ( façon nouvelle Haïti de la gente de 2004) pour perpétuer l'exact et même système de captation des ressources du pays par 5% de la population.
Soyez vigilants ouvrez yeux et oreilles, vous constaterez que la radio de l'élite ( Métopole ) vend à tire larigo les prédateurs des 2 régimes tèt kale, les présentant comme de bons citoyens dont la parole est crédible, vous verrez que cette offensive de blanchiment des larrons est relayée par les marchands de micro genre G. Henri, la bande de SCOOP, L. DÉSIR et YVENER le patron de RSF.
Ce à quoi vous assistez s'appelle de la désinformation, danst le but est de recycler les voleurs des Fonds Petro Caribe et de les remettre au pouvoir.
Cette stratégie n'est pas nouvelle. Elle a été employée dès 1986 avec le massacre des électeurs de la ruelle Vaillant, le coup d'Etat de 1991, celui de 2004 qui auront permis de bloquer les revendications de changements de la population et de replacer les mêmes marionnettes, les mêmes rapaces, les mêmes sagouins au pouvoir.
Ils (la C) ont envoyé J-C DUVALIER en Haïti pour faire renaître le duvaliérisme et faire croire à la population que la transition démocratique par eux boycottée était responsable de leurs malheurs (Surtout ne posez pas de questions sur la corruption, les exactions, les crimes. dont ceux des paramilitaires du FRHAP qu'ils ont protégé en partant avec leurs archives et les preuves de leur culpabilité. Ils ont même tenté de fourguer aux Haïtiens le fils de Michel Bennett, un type candidat à être une parfaite marionnette.
L'utilisation de l'avocat grande gueule, André Michel, pas différente de celle de son ex- partenaire NEWTON, de la dame Beauzile-Supplice, de l'écrivaine E. PROPHÈTE-MILCÉ, de Nesmy MANIGAT, de Josué PIERRE-LOUIS (un intellectuel formé à Paris) et tout un tas d'héritiers du duvaliérisme des diiplomés cupides et sordides.
Aussi Mezanmi, comme chantait notre chère chanteuse Toto Bissainthe dans les années 1970 " Haïti, la route est longue..."
Il ne tient qu'à nous d'écourter le chemin, de court-circuiter leurs projets, d'agir en marrons- vous savez que je suis totalement radicalement contre l"utilisation négative du terme de marrons, hérité des esclavagistes, par les intellectuels pour désigner son contraire : les restavèk, les voraces, les criminels.
On dirait que la société civile haïtienne est en panne de vocabulaire, comme elle est en panne de réflexions et se retrouvant de ce fait dans l'obligation de recycler le lexique des esclavagistes datant d'au moins 4 siècles.
Un marron dans l'histoire de "Nuestra America, reste un esclave qui ose fuir la plantation, refuse de vivre selon l'ordre du système esclavagiste au risque de sa vie. Nos intellos appellent marrons bizarrement ceux qui, à l'inverse, participent, collaborent au système de plantation , d'apartheid, de kleptocratie au 21ème siècle ?
Et impossible d'en discuter avec eux( question de dissonance cognitive). De même qu'ils ne saisissent pas l'importance des symboles- ce qui fait qu'ils ont saboté la commémoration des 200 ans d'indépendance du pays en 2004,- de même ils n'ont pas compris la profondeur du dit de Camus " Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde."
Qualifier des assassins, des bandits, des voleurs, des incompétents, des cupides, des sots et méchants, des lâches, des traitres de "marrons", ç'est ajouter au malheur d'Haïti.
Commenter cet article